Parmi les participants, tant sur place qu’à distance, on notait la présence de responsables et de spécialistes des ministères et agences concernés d’Azerbaïdjan, d’Iran, du Kazakhstan, de Russie et du Turkménistan, ainsi que des représentants des organisations internationales concernés par les problèmes de l’écologie et du développement.
L’ordre du jour comprenait un large éventail de questions d’actualité de coopération entre les pays côtiers pour assurer le bien-être écologique de la mer Caspienne. Les rapports présentés ont noté que la protection de l’environnement et l’utilisation rationnelle des ressources naturelles sont l’une des priorités de la politique d’État du Turkménistan.
Les conférenciers ont souligné qu’un ensemble de nouveaux documents réglementaires et juridiques est en cours de préparation, qui devrait être inclus à l’ordre du jour du prochain sommet des chefs des États de la Caspienne. Parmi eux figurent des accords sur la recherche scientifique et les opérations de recherche et de sauvetage en mer Caspienne, qui ont été développés à l’initiative du Turkménistan.
Les participants se sont prononcés en faveur d’un renforcement du partenariat international pour assurer une protection environnementale fiable de cette mer fermée, essentielle pour la biodiversité de tout le bassin caspien.