La conférence, à l’hôtel Khassyl (« Récolte ») d’Avaza, a réuni des responsables et des spécialistes de questions maritimes de différents organismes publics du Turkménistan, mais aussi des représentants des autres pays riverains de la Caspienne – l’Azerbaïdjan, l’Iran, le Kazakhstan et la Russie – et de diverses organisations internationales – ONU, OSCE, etc.
Les débats ont été largement consacrés à l’activité des diverses structures de protection de la nature du Turkménistan en relation avec la Caspienne. L’une des tâches actuelles est la réalisation d’un monitoring systématique des ressources biologiques et du milieu maritime de cette mer fermée.