Le Mejlis du Turkménistan, la chambre basse du Parlement, a tenu par liaison numérique la 18e session parlementaire de la sixième législature. Les députés ont examiné et adopté un certain nombre de lois élaborées conformément aux priorités de la politique du gouvernement, ainsi qu’un programme complet pour moderniser le cadre législatif et juridique du pays.

L’ordre du jour prévoyait le débat et le vote d’un certain nombre de projets de loi : amendements et ajouts au Code des infractions administratives ; amendements et ajouts au Code de procédure civile ; amendements à la loi sur la sécurité routière ; amendements au Code de procédure pénale ; amendements et ajouts à certains actes législatifs ; amendements à la loi du Turkménistan sur le service des douanes ; et amendements et ajouts à la loi sur la quarantaine végétale.


Roustam Minnikhanov, le président de la République du Tatarstan (Fédération de Russie), a effectué une visite de travail et de loisir d’une journée à Achgabat à l’occasion de la Journée nationale du cheval turkmène, le 24 avril dernier. Bien que le président Minnikhanov ait rendu dans le passé plusieurs visites au Turkménistan, c’est son premier voyage dans le pays depuis que Serdar Berdymoukhamedov a été élu à la présidence et pris ses fonctions en mars dernier.

Le visiteur tatar a eu des réunions avec le chef de l’État turkmène et le président du Khalk Maslakhaty, la chambre haute du Parlement, Gourbangouly Berdymoukhamedov. Les perspectives d’expansion de la coopération commerciale et économique ont été discutées et les parties sont convenues de l’existence d’un vaste espace pour renforcer le partenariat.


 

Tous les ans, le Turkménistan consacre le dernier dimanche d’avril à la célébration de la Journée du cheval turkmène, en d’autres termes, le pur-sang akhal-teke, la fierté nationale du pays. Il est donc naturel que les principaux événements de la fête se déroulent au sein du Complexe équestre international akhal-teke, près d'Achgabat.


De nombreuses industries utilisent très largement le lithium dans leurs activités. Il occupe une place importante – et même souvent indispensable – dans les secteurs de la céramique, du verre, de l’aluminium, du pétrole, des produits pharmaceutiques et de l’énergie. Matériau très performant, sa densité d’énergie élevée, sa faible masse et d’autres propriétés environnementales lui permettent d’être utilisé dans un large éventail d’applications depuis la fabrication de batteries et d’appareils électroniques compacts jusqu’aux systèmes d’alimentation pour véhicules.

Selon les études, les réserves de lithium dans le monde s’élèveraient à 86 millions de tonnes. Cependant, les sociétés minières ne peuvent traiter que 82 000 tonnes par an. D’ici 2025, la demande mondiale devrait atteindre 550 000 tonnes. Dans ce contexte, les chercheurs de l’Université d’Achgabat estiment que le Turkménistan dispose de toutes les ressources naturelles, technologiques et humaines pour lancer la production de lithium. Le lancement de l’extraction de ce métal et son exportation vers les marchés internationaux donneront un puissant élan pour le développement de l’économie du pays et transformeraient ce dernier en un acteur majeur dans ce domaine.


Dans de nombreux pays développés, les travaux sur l’hydrogène en tant que source d’énergie sont considérés comme un vecteur prioritaire pour le développement de la science et de la technologie. Ils reçoivent un soutien financier croissant de la part des agences gouvernementales et des capitaux privés. L’hydrogène, relativement bon marché et respectueux de l’environnement, apparaît comme une solution aux problèmes posés par les sources d’énergie fossiles et l’intermittence des sources renouvelables.

L’expert turkmène bien connu, Allaberdy Iliassov, docteur en sciences techniques, a réalisé pour le site en ligne CentralAsia.news une analyse sur le développement de l’énergie hydrogène comme domaine prometteur de l’industrie du futur. Selon lui, le Turkménistan – qui partage pleinement la préoccupation des pays développés sur l’impact négatif des émissions industrielles sur l’environnement – préconise une coordination étroite des efforts internationaux visant à minimiser les risques et les défis existants.